Parti Pirate Lyon

Les pirates sont à Lyon

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lundi 16 juillet 2012

Interview pour le Journal International : « Les partis pirates à l'abordage ! »

Le Journal International nous fait l'honneur d'un article sur notre positionnement.

Ce sont les nouveaux trublions de la politique. Apparus dans les années 2000 et très dynamiques en Allemagne et en Suède, les partis pirates souhaitent promouvoir la transparence du débat publique tout en luttant contre toute forme de censure numérique. « Ni de gauche, ni de droite, mais devant », ces formations ne peuvent pas réellement être positionnées sur l’échiquier politique. On peut néanmoins les situer en se fondant sur le « quadrant politique » (ou Political Compass) qui s’intéresse davantage aux notions d’autoritarisme et de libéralisme qu’à une opposition gauche/droite.

Logo Journal International

Le Parti Pirate français, créé en 2009, a présenté 101 candidats aux législatives de 2012. Bien que les résultats ne furent pas à la hauteur des objectifs (1% de voix afin d’obtenir les subventions nationales), ce fut l’occasion de faire entendre la voix d’un parti vers lequel se tournent souvent ceux qui sont déçus des partis traditionnels. Les partis pirates inventent en effet une nouvelle forme de politique qui prône la démocratie directe, et se développe grâce à une importante coopération internationale. Un Parti Pirate Européen pourrait ainsi voir le jour pour les élections européennes de 2014, dans le cadre du Parti Pirate International fondé en 2006.

Cette évolution doit accompagner une réflexion sur l’évolution politique des pirates. Le parti pirate allemand est souvent pris en exemple : le Piraten Partei est entré au Parlement du Land de Berlin et tend à dépasser les Verts dans les intentions de vote au niveau fédéral. Il devient progressivement la troisième force politique du pays. Il doit aujourd’hui répondre aux critiques qui taxent ses élus d’amateurisme. Les pirates allemands sont confrontés pour la première fois à l’impossibilité de gouverner en se limitant à un programme axé sur les libertés informatiques. Il est ici nécessaire de souligner que le développement des partis pirates dépendra des contextes nationaux et électoraux différents. Damien Clauzel, membre du Parti Pirate de Lyon, affirme ainsi : « même dans un avenir assez lointain je ne vois pas de « destin à l'allemande » pour les pirates français en termes de résultats aux élections. Mais cela n'empêche pas de travailler sur des projets à côté. » L’attaque pirate ne fait que commencer !

Laurène Perrussel-Morin

lundi 11 juin 2012

Interview : « Législatives 2012 : Les débuts du Parti Pirate »

Martin Bartoletti a réalisé une interview « sortie des urnes » de Damien Clauzel. Voici ce que ça donne, avec le croisement des résultats.

Le Parti Pirate attendait ce jour avec impatience. Le premier tour des élections législatives du 10 juin devait servir de révélateur et permettre à cette jeune formation de se situer sur l’échiquier politique national. Avec un budget et une visibilité réduite, l’exercice semblait compliqué.

jeudi 7 juin 2012

Article dans la presse : Sept pirates à l'assaut des urnes

Lyon Plus s'est intéressé aux candidats pirates sur Lyon. Voici l'article publié aujourd'hui.

Chaque élection a sa part de nouveauté. Les prochaines élections législatives seront mar­quées par l’arrivée des candidats du « Parti Pirate ». 102 sur toute la Fran­ce et 7 dans le Rhône — les quatre circonscriptions lyonnaises mais aus­si la 6e (Villeurbanne), la 7e (Vaulx­-en­-Velin, Bron, Rillieux) et la 12e (Oullins, Ste Foy,...)

Surfant sur le succès des Pirates alle­mands et suédois (deux députés européens), ils prônent la liberté sur internet et donc la transparence en toute chose et une nouvelle manière de faire de la politique. À l’image de Sammy Dia, candidat dans la 3e cir­conscription, qui, du haut de ses 19 ans préfère le jean­ tee­shirt au costu­me­ chemise. Cool, mais déterminé à défendre la liberté sur internet, à lut­ter contre toute censure et à revendi­quer le partage gratuit des contenus. Comme les autres candidats, Sammy Dia, étudiant à l’IUT de Lyon 1, est passionné d’informatique. Mais il l’assure, le programme de son parti s’est élargi à d’autres sujets : une jus­tice indépendante, le refus du fichage et de la télésurveillance, la transpa­rence dans tous les domaines possi­bles. « Chacun peut contribuer au programme, nous retenons les mesu­res qui font consensus » affirme le jeune Pirate, qui affiche ses valeurs de « liberté et de transparence » mais qui se veut « ni droite, ni gau­che, en avant... ». Mais, il en con­ vient, « nous n’avons pas réponse à tout : il y a 102 candidats et peut-­être 102 opinions différentes sur la Sy­rie ». C’est finalement rassurant. A-t­-on déjà vu des pirates 100 % d’ac­cord avec leur capitaine sur le cap à suivre ?

lundi 4 juin 2012

Réponses au questionnaire de Lyon Capitale pour l'élection législative de 2012

Plusieurs candidats du PPRA ont répondu au questionnaire de Lyon Capitale sur les élections législatives. Voici l'ensemble de leurs réponses.

Si avec tous ça vous ne connaissez toujours pas nos idées, nous ne pouvons plus rien pour vous ! :)

mercredi 30 mai 2012

Interview pour la Tribune de Lyon : "Avec cette élection, le Parti Pirate fait son coming-out politique"

Jérémy Chauche a interpellé Damien Clauzel sur Twitter pour qu'il présente la place du Parti Pirate Rhône-Alpes dans cette élections législatives à Lyon. Voici le résultat.

Pour la première fois en France le Parti Pirate, fondé en 2008, présentera une centaine de candidats aux élections législatives dont huit dans le Rhône. Damien Clauzel est l'un d'entre eux. Ce chercheur en informatique de 34 ans se présentera dans la 6e circonscription du Rhône (Villeurbanne). Il revient sur les raisons qui l'ont poussées à se présenter aux législatives et sur les thématiques qu'il espère faire émerger...

Pour la première fois en France, le Parti Pirate présente des candidats aux législatives car nous sommes de plus en plus à ne pas se sentir représentés par nos hommes et femmes politiques. Je constate notamment que sur les pratiques liées au numérique, il y a une grande méconnaissance de la part de nos politiques. Avec cette centaine de candidatures en France, le Parti Pirate veut mettre le pied dans la porte pour faire émerger toutes les thématiques liées au partage et à la libération des données et plus globalement à la propriété intellectuelle. La plupart de nos candidats viennent du monde l'informatique, des sciences et du logiciel libre mais petit à petit d'autres personnes s'intéressent à nos idées. On est un peu comme les Verts dans les années 80, on construit notre projet de société petit à petit. Après, je suis réaliste et je sais très bien que nous avons aucune chance d'avoir ne serait-ce qu'un seul élu à l'Assemblée Nationale. Nous voulons gagner en visibilité et pourquoi pas obtenir des subventions si au moins 50 de nos candidats dépassent 1 %. En bref, avec cette élection, le Parti Pirate fait son coming-out politique. Notre objectif à moyen terme reste les élections européennes car c'est à Strasbourg que se décident les lois cadres qui sont ensuite déclinées au niveau national.

lundi 14 mai 2012

Le PPRA dans la presse nationale, interview pour le magazine Capital

2012-05, Capital, n°248 Spécial Lyon, page 150, Les 50 Lyonnais qui font parler d’eux : Damien Clauzel

En mars, Damien Clauzel a accordé une interview au magazine Capital qui est paru en mai. L'idée pour le magazine est de présenter des acteurs qui « font » Lyon.

L'article présente brièvement des sujets défendus par le Parti Pirate Rhône-Alpes.

Damien Clauzel, 33 ans, président du Parti pirate

La comparaison avec les verts des années 1980 lui va bien : « Au début, ils ne parlaient que d’écologie, puis ils ont gagné en compétence pour proposer un projet de société. C’est ce à quoi nous aspirons. » Pour Damien Clauzel, le Parti pirate — un mouvement venu de Suède — n’est pas qu’un groupe de geeks hostiles à la loi Hadopi. La lutte contre les caméras de surveillance ou l’accès effectif aux données publiques, pour que « les citoyens s’approprient mieux la vie politique », sont aussi dans le programme que défendront « trois ou quatre » en Rhône-Alpes. Ce prof d’informatique, voyageur et touche-à-tout, enfile ses autres casquettes avec le même enthousiasme : il fait du conseil en entreprises et vient de monter sa propre structure de R & D.

Par contre, précisions :

  • Damien Clauzel n'est pas président du Parti Pirate, mais membre du Parti Pirate Rhône-Alpes et l'un des fondateurs ;
  • le PPRA présente une dizaines de candidatures dans le Rhône, la Savoie et la Loire ;
  • Damien Clauzel est chercheur et enseignant.


lundi 20 février 2012

Interview : « Le Parti Pirate accoste en France »

Toujours suite au rassemblement contre ACTA à Lyon du samedi 11 février 2012, un nouvel article de presse apparaît.

Flibustier : n.m Aventurier de l’une des associations de pirates qui, du 16ème au 18ème écumaient les côtes espagnoles en Amérique. (Je vous passe le mot « dévastaient » qui, présent dans la définition du Petit Robert nous desservirait légèrement). Comme vous pouvez le constater, flibustiers et pirates sont très proches. Il était donc impensable de ne pas consacrer quelques lignes à l’avènement de ce nouveau parti qu’est le Parti Pirate. Ne serait-ce pas rogner une part de nous-même ? Selon le dictionnaire en tout cas.

mercredi 25 janvier 2012

Interview pour Radio ISCPA : L'invité du 25

Damien Clauzel était l'invité de Radio ISCPA, la webradio des étudiants en troisième année de l'ISCPA Lyon en journalisme et communication pour réagir sur l'actualité; à savoir Anonymous, MegaUpload et HADOPI.

Anaïs Vendel reçoit Damien Clauzel, représentant du Parti Pirate dans le Rhône pour évoquer la guerre du Web et la politique numérique actuelle.